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Aline
Pris au piège dans une cellule complètement infâme ,
ce n’était pas son corps, ce n’était pas son âme
sa tête n’arrêtait pas de raisonner,
elle savait qu’elle se brisait et n’avait pas où aller.
La cellule n’était qu’une illusion créée par ses pensées,
la liberté lui était presque hors de portée.
Elle s’était forgée un faux portrait au fur et à mesure qu’elle s’effondrait,
elle n’arrivait plus à retirer.
Famille, amour et bonheur n’avaient plus aucunes significations à ses yeux,
elle se retrouva complètement désillusionnée.
Tel un archéologue à la recherche d'artefacts en tout lieux ,
elle s’était mise en quête de la vérité, qu’elle n'a pu en aucun cas trouvée.
La raison et l’interprétation ont été la définition des hommes pendant des siècles et des décennies ,
les mots et les symboles sont devenus une tendance qui lui était jusque là inconnu.
Elle était perdue, complètement perdue.
elle ne comprenait pas, elle était perdue, "dites moi pourquoi je suis ici" avait-elle dit .
Les yeux fermés, appelée par Morphée,
ses doigts couraient le long des pages blanches immaculées de larmes,
aussi tranchantes et brillantes qu’une lame.
Elle pleurait, tant qu’elle le pouvait.
Comme avec un trou vide au milieu de son cœur,
elle se sentait si seule, seule avec son amie la rancœur.
A la recherche de son « moi »,
elle finit par étouffer le son de sa voix.
Guillaume
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Commentaires
2dominiqueLundi 21 Mai 2018 à 14:07Bonjour,
Hum, c'est un bon début........ mais ce n'est vraiment qu'un début....
Il faudrait que tu poursuives ces premiers mots...
Je te propose de partir de l'improvisation de Aline pour nourrir ton écriture. La phrase qui lui été venue, c'était "j'ai pas envie..." Essaie déjà une variation autour de ce "j'ai pas envie..." (c'est d'ailleurs une variation de "je cherche mon rôle dans ce monde" donc j'écarte des possibles).
Espérant que ça décoince ton écriture, très bonne continuation,
Dominique
3poney06Mardi 29 Mai 2018 à 23:40Pris au piège dans une cellule complètement infâme ,
ce n’était pas son corps, ce n’était pas son âme
sa tête n’arrêtait pas de raisonner,
elle savait qu’elle se briser et n’avait pas où aller.
La cellule n’était qu’une illusion créée par ses pensées,
la liberté lui était presque hors de portée.
Elle s’était forgée un faux portrait au fur et à mesure qu’elle s’effondrait,
elle n’arrivait plus à retirer.
Famille, amour et bonheur n’avaient plus aucunes significations à ses yeux,
elle se retrouva complètement désillusionnée.
Tel un archéologue à la recherche d'artefacts en tout lieux ,
elle s’était mise en quête de la vérité, qu’elle n'a pu en aucun cas trouvée.
La raison et l’interprétation on été la définition des hommes pendant des siècles et des décennies ,
les mots et les symboles sont devenus une tendance qui lui était jusque là inconnu.
Elle était perdu, complètement perdu.
elle ne comprenait pas, elle était perdu, "dite moi pourquoi je suis ici" avait-elle dit .
Les yeux fermés, appelée par Morphée,
ses doigts couraient le long des pages blanches immaculées de larmes,
aussi tranchantes et brillantes qu’une lame.
Elle pleurait, tant qu’elle le pouvait.
Comme avec un trou vide au milieu de son cœur,
elle se sentait si seule, seule avec son amie la rancœur.
A la recherche de son « moi »,
elle finit par étouffer le son de sa voix.
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JE cherche mon identité et mon rôle ds ce monde brute
Perdu, kadunud, ztraceny